En septembre 2015, en marge de la biennale d’art contemporain de Lyon, l’association crée la « biennale du futur » et invite sous une forme très officielle les spectateurs à venir dans un terrain vague de 4000 m2 observer les travaux d’artistes ayant opéré dans l’illégalité depuis plusieurs mois pour offrir au public d’apprécier ces travaux au plus proche de leur contexte de création.
Des centaines de spectateurs découvrent les travaux de Jean-Marie Gorgelin, Esmo et Spectr, ainsi que des travaux d’artistes invités tels que Revolt, ou les Modern Jazz, ou déjà présent comme Totipote, sans se douter qu’il s’agit d’une exposition spontanée illégale.